De grands
panneaux, apparemment rayés, se retrouvent dans la galerie. Il s’agit pour
Pierre
Ferrarini,
architecte de formation, né en 1964, de la poursuite d’une expérience. Les
colonnes de gauche se composent de dessins, format A6. Celles de droite du sous-main
qui se garnit peu à peu de leurs empreintes. « Collées » à
l’ordinateur, les imprimantes aboutissent à quatre
panneaux,
composant à chaque fois un tableau. C’est toujours le même, avec un léger
décalage. Le premier dessin disparaît, laissant remonter le second à sa place.
Et ainsi de suite.
Deux textes
et un catalogue dépliant accompagnent cette aventure, plutôt conceptuelle.
Etienne Dumont,