andata . ritorno laboratoire d'art contemporain

Lolita Romanoff

«Défilé de la Princesse Romanoff»

Lolita Romanoff

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Lolita Romanoff

Lolita Romanoff

Lolita Romanoff

(du 23 septembre au 22 octobre 1994)

Pour septembre 1994 Genève prépare deux évènements importants, l'ouverture du MUSEE DE LA PRINCESSE LOLITA ROMANOFF et celle du MUSEE D'ART CONTEMPORAIN.

D'abord ouvert en 1992 à Moscou, dans l'ex-Musée Lénine, le Musée Lolita Romanoff ouvre ses portes à Paris à la Galerie Down Town et à New York, en 1993, ainsi qu'au Salon DECOUVERTES en 1994.

Œuvres détournées, objets intimes ayant appartenu à l'illustre Princesse, produits dérivés à facon effigie, couverture de magazines célébrant sa légende, de ses œuvres complètes jusqu'au Mausolée, au cercueil de velours rouge où git le cadavre vivant de Lolita Romanoff...ce Musée a une capacité à dépasser le temps et à lui échapper.

Lolita Romanoff définit son mode d'expression plastique comme un "nouvel abstractionnisme "  Pour moi l'art doit se produire lors d'un passage brutal, d'une élévation fulgurante, qui permet d'échapper aux entraves de la vie.

Leader politique, metteur en scène, écrivain , acteur, actrice , Miss Univers, entre Mladonna et Catherine Deneuve, Lolita Romanoff signera un défilé présenté par les tops models Lolita Romanoff , Cindy Crawford et Claudia Schiffer ...

Ce Musée -hymne à la liberté absolue -est une invitation au jeu et à la recherche de la beauté , au-delà des mythes et au-delà de l'histoire.

Contacts:

Andata Ritorno / Joseph Farine -37, rue du Stand. Genève

Tél 41 22/ 329 60 69 -Fax: 321 58 12

Down Town / François Laffanour -33, rue da Seine -75006 Paris

Tél. : 331 /48338241 -fax: 43291075

■ MYTHE OU RÉALITÉ

Pour quiconque connaissant Andata/Ritorno la surprise est impressionnante. On entre dans l’étrange atmosphère du « MUSEE LOLITA ROMANOV » où réalité et fiction s’imbriquent sans se révéler. Russe émigrée à Paris, Lolita Romanov (ce n’est bien sûr pas son vrai nom) regarde le monde et ses enjeux qui de l’Est à l’Ouest, sous des formes différentes et pourtant pas si éloignées qu’on veut bien parfois le dire, se joue des individus. Écho de la Russie, ses peintures et photographies, les objets placés dans des cadres au fond doré sur velours rouge ou des vitrines un rien brinquebalantes renvoient tout autant au réalisme soviétique qu’aux mythes hollywoodiens.

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